Le 20 février prochain, Jessica Thivenin, star des Marseillais (W9) – la diffusion des Marseillais Asian Tour débute ce 18 février –, sort son autobiographie, C’est tout moi !. La star y évoque son enfance, sa vie de famille, sa participation aux émissions et sa vie amoureuse. Parmi ses nombreuses confidences, la jolie blonde a dévoilé dans les pages de son ouvrage avoir été victime de violence conjugale. Jessica Thivenin nous en a dit plus lors d’une interview…
Si ça arrive il faut partir
Consciente qu’elle est un modèle pour de nombreuses jeunes filles, la star de 29 ans a choisi d’évoquer sans détour ces épisodes douloureux de sa vie : “Je sais que j’ai beaucoup de jeunes filles qui me suivent, beaucoup idéalisent ma vie (…) mais ça n’a pas toujours été comme ça. J’ai eu des relations plus ou moins difficiles et des fois c’est allé loin. Je veux montrer qu’il ne faut pas perdre espoir car si ça ne va pas aujourd’hui, ça ira peut-être mieux plus tard. Aujourd’hui, je vais très bien et je suis très heureuse même si j’ai été fracassée par le passé et que je me demandais si j’allais m’en sortir, trouver quelqu’un de bien, avoir une vie bien. Et au final, oui.“
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En plus de vouloir faire passer ce message d’espoir, l’épouse de Thibault Kuro a souhaité mettre ses fans en garde : “Je voulais aussi prévenir que si ça arrive, il faut partir. Moi j’ai perdu du temps à rester et à pardonner parce que j’avais la personne en face de moi qui pleurait et qui disait m’aimer, regretter et qu’il ne referait plus jamais ça. Mais c’est la facilité. Si c’est arrivé une fois, ça se reproduira, donc il faut partir.“
Je pensais que c’était normal
La jeune femme aux 3 millions de followers sur Instagram a en réalité connu plusieurs relations violentes. Une situation devenue banale qui a fini par lui faire penser que le problème venait d’elle et “que les relations parfaites n’existaient pas“. “Ça a commencé quand j’avais 16 ans“, confie-t-elle ensuite.
Son histoire d’amour avec Nikola Lozina a été le déclic qui lui a fait prendre conscience que ce type de relation n’était pas normal : “Je me suis rendu compte qu’il n’était pas agressif, qu’il ne parlait pas mal. Et j’ai réalisé que ça existait quelqu’un qui, même énervé, ne parle pas mal. Ça m’a fait un déclic et j’ai compris que la violence n’était pas forcément obligatoire.“
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